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Nora Picetti modèle les nouvelles dans un aigu condensé d'émotions. Temps et place s'annulent sur scène. Une actrice seule fait revivre l'expérience de Rosa en extrapolant de sa vie nombreux personnages, qu'ils sont faits dialoguer entre eux dans un jeu savant de modulation de la voix. La scène peu plus que vide, enrichi seulement par une table de bois, des chapeaux et un châle, il apparaît au public plein. Plein de faits, gens et mouvements. La peur de la migration et le goût de la liberté cohabitent et ils se succèdent sur le même plateau. Le spectacle révèle un travail magistral de recherche et dévouement.

(Palma Salvemini – Molfetta Live)

L'actrice, avec un talent considérable, arrive à faire les voix des différentes personnages, leurs attitudes, leurs accents, filtrat tout à travers les yeux de Rosa, qui raconte sa histoire. Un spectacle délicat, par moments un peu amer, par traits légers et amusants. Un spectacle pour raconter la vie et surtout pour apprendre à ne pas avoir peur.

(Olimpia Petruzzella - Quindici)

Au fil de toutes ces péripéties, nous découvrons un personnage féminin attachant, fort aussi. Rosa s’affranchit, à l’âge mûr de la peur, de la honte, et même de la pauvreté. Elle acquiert une place sociale au sein de la société américaine, grâce à un don qui est enfoui en elle...

(Emmanuelle Chassery, La Provence)

 

Nora Picetti, grande interprète et dramaturge raffiné, a porté en scène l'histoire touchant de Rosa, en réussissant avec sa voix et ses gestes à donner vie à environ 20 personnages. Un monologue à plusieurs voix fruit d'une soignée recherche historienne et musical. Un spectacle émouvant et passionnant. (Isabella de Pinto - L'Altra Molfetta)

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